La Compagnie Noire

De Wiki Dofus
Révision datée du 12 mai 2010 à 06:04 par Hyrashia (discussion | contributions) (→‎Membres)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à la navigationAller à la recherche


Présentation

Jeune guilde d'Hyrkul, fraîchement créée, lvl 5^^ Une dizaine de membres d'un niveau moyen de 32 (en constante augmentation bien sûr^^). Nous ne disposons pas encore ni d'enclos ni de maisons, mais c'est prévu ;p

Principe de la guilde

  • Les buts et principes de La Compagnie Noire seront révélés plus tard...
  • Pour l'instant, tout du moins, c'est de disposer d'un groupe de joueurs plutot attirés vers la ville sombre...

Règles

  • Un respect des membres est naturel !
  • Un savoir jouer minimum est demandé, même si on ne refuse pas forcément les jeunes joueurs, on ne fait pas vraiment l'"école des noob"
  • Parler francais (donc le sms est à bannir, les abréviations modérées son acceptées) !!

Membres

  1. Oni-neko, lvl 52, Ecaflip ==> Meneur
  2. Nairfin, lvl 47, Crâ ==> Eclaireur
  3. Van-Hal, lvl 45, Sadida ==> Gardien
  4. Otillia, lvl 43, Xélor ==> Bras droit
  5. Aalrihaus, lvl 39, Iop ==> Bras droit
  6. Ushoran, lvl 36, Eniripsa ==> Muse
  7. Kanabys, lvl 30, Crâ ==> Artisan
  8. Krell, lvl 28, Sacrieur ==> Réserviste
  9. Mikazuuki, lvl 20, Iop ==> Elu
  10. Sammael, lvl 10, Enutrof ==> Trésorier
  11. Xgoko-kekoko, lvl 7, Sram ==> Boulet
  12. Hyrashia,lvl 36 , Crâ ==> Bras droit

Backgrounds

A venir ! Moi, Oni-neko, posterais ici, les backgrounds de moi-même et des autres quand ils seront fait XD


Ushoran, l’éni qui rêve d’aventure !

Après la mort de ses deux parents, tués alors qu’ils défendaient leur famille d’une horde de Crocs gland, le jeune éniripsa du nom de Ushoran, dû s’occuper seul de ses deux petits frères et de sa petite sœur. Ushoran était encore jeune, il avait à peine 15 ans lorsque qu’il se vit confié la responsabilité de sa famille.

Son père était un brillant Tailleur, il confectionnait de magnifiques capes que les aventuriers achetaient lorsqu’ils étaient de passage dans leur petit village. Sa mère quant à elle, passait des heures à cueillir des fleurs dans les champs, et plus encore à concocter des potions en se servant de sa cueillette. Ushoran, lui, ne savait ni manier le fil et l’aiguille, ni faire fonctionner les machines que sa mère utilisait pour ses potions… Il n’en connaissait même pas les recettes. La perte des parents du jeune Ushoran fut une grande tristesse pour le village Emopniok.

Cependant, pour Ushoran et ses frères et sœur, la vie continuait son cours, et le jeune garçon devait nourrir sa petite famille. Mais au village, personne ne voulait lui confier un travail. Il ne savait pas bien se servir d’outil, et redoutait de combattre les monstres des Landes de Sidimote (Emopniok est à l’Est des Landes). Il ne pouvait effectuer que quelques livraisons de nourriture et de marchandises au sein même du village. Pour 5 kamas la livraison, il ne rempli pas énormément les estomacs de sa famille.

Au bout de quelques mois, une très vieille énutrof s’installa au village. Une boulangère qui cherchait quelqu’un pour l’aider dans son travail. Ushoran voulu se présenter à la vieille femme, mais le iop qui l’envoyait faire ses livraisons quasi à l’œil, le découragea vite en lui affirmant qu’il ne pouvait être engagé par la vieille énu. « Tu n’es qu’un bon à rien ! Comment peux-tu imaginer pouvoir aider cette boulangère, tout ce que tu vas faire, c’est cramer sa maison !! »

Ushoran, dépité, oublia son idée et continua les livraisons. Les kamas se faisaient vraiment très rares dans la petite bourse de l’éniripsa. Ses petits frères et sœur pleuraient souvent. Le ventre vide, Ushoran commença une nouvelle journée comme les autres. Il se leva à l’aube pour aller chercher le laitlait chez l’éleveur et le ramener à l’épicerie. S’il avait de la chance, les commerçants lui offraient un petit pourboire, mais il semblait que depuis la mort de leurs parents, les gens du village voyaient sur les enfants comme un mauvais œil.

Sur les douze coups de Midi, le iop Iturba envoya ushoran livrer une dizaine de sacs de farine paysanne en provenance d’Astrub… Il se rendit alors à l’adresse indiqué et se remarqua qu’il se trouvait chez la boulangère énutrof. Alors qu’il allait déposer les gros sac de farine dans l’arrière boutique, il ne put résisté et lui posa une question: « Madame, pourquoi ne faite vous pas votre farine vous-même ? Vous êtes Boulangère, non ? »

L’énu posa un regard attendri sur l’éni tout chétif : « Oh, et bien, vois-tu, mon vieil âge ne me permet plus d’aller faucher le blé et les autres céréales dans les champs, je pourrais me passer des livraisons de ce iop avide si un paysan vigoureux travaillait pour moi ». Ushoran comprit tout de suite qu’il ne pourrait pas remplir ce rôle. Il était petit, faible et craintif. Iturba avait raison, qu’est-ce qui pousserait quelqu’un à l’engager ?

« As-tu faim ? Je viens de préparer des briochettes, elles sortent juste du four. J’aimerai que tu me dises ce que tu en pense. » La vieille femme souriait tendrement. C’était la première fois qu’on était si gentil avec Ushoran. Ému, il accepta l’invitation. La boulangère disparue quelques instants dans une pièce et revint un plateau sur les bras. Dessus, une énorme briochette aux formes bien gonflées ainsi qu’une carafe de laitlait accompagnée de deux grand verres.

L’énu posa le tout sur la table, fit couler du laitalit dans les verres, en tendit un à Ushoran et s’installa en face de lui. Le jeune éni n’en revenait pas. Il ne se souvenait même plus de la dernière fois qu’il avait bu du laitlait. La briochette était délicieuse et Ushoran se régala avant d’être rongé par la culpabilité de ne pas en faire profiter ses frères et sœur. « Dis-moi, ce iop, Iturba, il te traite bien ? » « Mr Iturba ? Et bien, il me traite… normalement. » Répondit Ushoran, gêné. « Humm, et il te paie bien, dis-moi ? » L’éniripsa fut interloqué par la question. Pourquoi voulait-elle savoir cela ? « J’ai 5 kamas par livraison…. À peine de quoi acheter de la nourriture pour mes frères et sœur. » L’énu sembla alors pensive. Elle observait Ushoran se délecter de sa briochette, quand elle lui demanda : « Sais-tu te servir d’une faux, mon garçon ? » Ushoran baissa les yeux et osa à peine répondre : « Pour tout vous dire Madame, je ne sais pas me servir de grand-chose…. » « Lèves-toi mon garçon ! » Ushoran obéi, ne sachant que faire d’autre. La vieille énu se leva et vint se placer derrière lui. Elle glissa ses petits bras sous ceux de Ushoran et lui saisi les poignets. « Imagine que tu tiens une faux entre tes mains. » Puis, elle fit balancer les bras de Ushoran d’un coté, puis de l’autre. « Tu vois ! Tu sais faucher ! » Dit elle souriant.

Heureux de se trouver un nouveau job, un vrai métier, Ushoran accepta l’offre de l’énu quant à récolter des céréales et en faire de la farine pour lui permettre de faire ses pâtisseries. Après avoir récupéré sa maigre paye auprès du Iop, il lui annonça qu’il ne ferait plus ces livraisons pour lui, qu’à présent, il travaillait pour la boulangère ! Ushoran comprit qu’il ferait mieux de courir quand Iturba commença à se compulsionner.

Quand l’éni arriva dans la petite chaumière, Nitul, l’ainé de ses petits frères, qui avait seulement 2 ans de moins que lui, se précipita à sa rencontre, l’air joyeux. Ushoran demanda alors ce qui se passait et Nitul lui montra du doigt un gros baluchon sur la table.

« Une vieille énu nous à apporté ça, tu as dû la croiser, elle est parti il y a quelques minutes. » Sur la table, Fairy, la petite sœur d’Ushoran, releva la tête du baluchon, des miettes plein la bouche. Une brioche ! Encore plus grosse que celle qu’elle lui avait fait goûter. « C’est bon, mais c’est chaud !! » Prévint la petite éni alors que son ainé s’approchait. Nitul montra à son frère un tas d’affaires dans un coin de la maison. « Elle t’as apporté ça aussi. Tu as un nouveau travail ? » Les affaires en question n’étaient autre qu’une faux ainsi qu’un sac en laine de bouftou. « Oui, j’ai un nouveau travail. »


Deux ans s’écoulèrent ainsi. Ushoran travaillait pour la boulangère et touchait une partie des bénéfices que celle-ci faisait en revendant ses pains. Les gens du village le regardaient toujours de travers, mais ça lui était tout à fait égal maintenant. Ushoran appris même un nouveau mot : le mot interdit ! Une fois, alors qu’il fauchait, un épouvantail s’anima et l’attaqua ! Le mot blessant d’Ushoran ne lui faisait presque rien, alors il dû improviser et cria le mot interdit. Ushoran prenait peu à peu confiance en lui. Il se rendit compte que malgré sa crainte des monstres, avec de l’entrainement, il pourrait sans doute les terrasser !!

Ushoran racontait toujours ses péripéties à la vieille boulangère et lorsqu’il lui dit pour le mot interdit, elle lui posa alors une question : « Dis-moi, jeune Ushoran, l’aventure ne te tente-t-elle pas ? » Ushoran réfléchi un instant et répondit : « Bien-sûr qu’elle me tente, j’aimerais partir de ce village ou nous ne somme pas les bienvenus. J’aimerais voir Astrub, on dit que c’est très grand et que les champs là bas, sont immenses !! Mais…. Il y a des monstres en chemin et… » Le regard dans le vague, il sembla que l’esprit d’Ushoran quitta pour un instant son enveloppe corporelle. Puis il secoua la tête et reprit : « … et je ne peux pas abandonner mes deux frères et ma petite sœur ! »

La vieille énu remarqua bien, avec son regard expérimenté, que le jeune éni rêvait d’aventure, de voir du pays !! Elle proposa alors un marché à Ushoran. Ce dernier eu du mal à se décider, mais fini par accepter.

La vieille énu connaissait un ecaflip de confiance, Oni-neko qu’elle avait dit. Ils s’étaient connu il a bien longtemps sur une île flottante. La vieille énu lui avait vendu quelques pains et ils étaient vite devenus amis. Tandis que l’énu s’était spécialisé dans son métier, l’éca, lui, avait préféré la chasse au monstre. La boulangère proposait un marché simple : Ushoran pourrait partir à l’aventure sous l’aile protectrice de l’écaflip pendant qu’elle s’occuperait de la petite famille.

La boulangère avait envoyer un message à Oni-neko pour lui dire de venir la voir la prochaine fois qu’il serait de passage dans le coin. Et l’éca ne se fit pas attendre. Quelques jours plus tard, Oni-neko se présentait à l’atelier.

Un éca noir et aux yeux rouge. Ushoran eu un peu peur au début. Qui plus est, il portait sur lui, les restes d’un animal qu’il devait avoir chassé. Un bouftou !! Ushoran reconnu alors la cape et la coiffe bouftou que son père avait déjà confectionné. Après les présentations, la boulangère expliqua la situation à son ami eca. Il semblait heureux d’avoir un nouveau compagnon de route.

Après avoir donné les dernières recommandations à ses frères et sœur, le jeune Ushoran, à présent âgé de 17 ans, se lança dans les Landes de Sidimote en compagnie d’Oni-neko…


« Es-tu déjà aller à la ville fortifiée plus au sud ? » demanda l’ecaflip. Choqué, comme si parler de cette ville était blasphème, Ushoran bégueya : « Brakmar ?? !! La ville Sombre ?? Le repaire de tous les démons ??? Bien sûr que non !! A vrai dire, je ne suis jamais sorti de mon village… »

Oni-neko éclata de rire à la réaction du jeune éni. « N’aie pas si peur de Brakmar, c’est vrai qu’il y fait sombre mais on s’y sent bien. Et puis, tu sais, tous les démons ne sont pas cruels à souhait ! » Dit-il, plongeant ses yeux rouges flamboyant dans les petits yeux gris d’Ushoran.

Pendant un instant, il cru voir dans le dos de l’éca, de petites ailes crochues à la membrane rouge. « Oni-neko, es-tu l’un de ceux qui mène une guerre entre les deux cités rivales ? » Un sourire se dessina sur le pelage noir de l’éca.

« Je ne participe pas à ces querelles, si telle est ta question. J’ai beaucoup d’amis dans la ville sombre, voici la raison de ma venue dans ces contrées. Et puis, j’ai bien mieux à faire que de me chamailler avec des plumeux… »

L’éca fit découvrir au jeune Ushoran un portail. Un anneau planté dans le sol dans lequel stagnait un fluide bleu. Une porte des étoiles ? Non, un zaap !!

Moyennent quelques kamas, Ushoran et Oni-neko traversèrent le portail et se retrouvèrent propulsés au portail d’Astrub. « Alors c’est si simple ? » induisit Ushoran, déçu. « Les zaap, c’est pour aller plus vite, si on a rien à faire entre le point de départ et la destination. Je t’avoue que je trouve plus amusant de courir à pleine patte dans les champs et les terres dévastées en attaquant quelques monstres. »

Oni-neko commença par acheter de quoi équiper son jeune disciple. Et bien qu’Ushoran aurait apprécié subvenir à ses besoins lui-même, il ne pu refuser les vêtements en laine de bouftou, les même que l’éca. Il ne pouvait pas tous les porter pour l’instant mais ca ne saurait tarder. Seul lui manquait la coiffe. Alors qu’il en avait trouvé une parfaite pour lui, les deux compagnons s’étaient rendu compte que même combinées, leurs bourses de kamas ne suffisaient pas à remplir le prix de la coiffe cornue. En contre partie, ils avaient juste assez pour acheter au petit éni un chapeau pointu très saillant. « J’ai l’air d’un vrai aventurier, maintenant, non ? » demanda Ushoran, enthousiaste. « Le tout est de ne pas en avoir que l’air » rétorqua Oni-neko avec un clin d’œil.

Ensemble, ils se rendirent à la taverne d’Astrub, et commandèrent à boire. Ushoran murmura à l’oreille de l’éca qu’ils ne disposaient plus d’une seule pièce pour payer les boissons, mais cela ne semblait en aucun cas le perturber.

Ils sirotèrent leurs boissons en discutant des aventures de l’un et de l’autre bien que le palmarès d’Oni-neko soit un peu plus rempli que celui d’Ushoran, quand le tavernier vient leur demander l’addition. L’éca sourit au tavernier et lui dit : « Pile, je paye, Face, c’est cadeau de la maison ! Quand dis-tu, tavernier ? » « J’en dis que tu paye ta bière, c’est tout ! » Rebuté par la mauvaise foi du tavernier, l’éca se leva quelque peu en colère. Ushoran ne savait plus où se mettre, il ne voulait pas être entrainé malgré lui dans une bagarre de taverne, et bien qu’il aurait aimé retenir son compagnon, il ne s’en savait pas la force.

Alors que l’éca sortait son paquet de carte à jouer (parce qu’il se bat avec des cartes le coco), une Xelorette intervint et d’un sort, elle retira toute capacité à attaquer aux deux bagarreurs. Elle tendit quelques pièces au tavernier et fusilla l’eca du regard. « C’est peut-être sa femme » se demanda Ushoran.

« Oni !! Baka neko !! C’est comme ça que tu aurais dû t’appeler ! » La xelorette semblait furieuse, mais Oni-neko, lui, ne s’en inquiétait guère. « Ma petite Otillia, tu veux apprendre, non ? Alors ne rechigne pas. Même les bagarres de taverne peuvent être très instructives. » Oni-neko fit alors les présentations entre Otillia, la xelor, et Ushoran l’éniripsa. Ainsi, Ushoran comprit que Otillia n’était pas la femme de l’éca mais son élève, on plutôt une compagnonne de route comme il l’était lui-même.


Ensemble, ils pourraient affronter de bien plus grands dangers que si le petit éni avait été tout seul… l’aventure continue !

Comment nous contacter ?

Très simple, soit vous m'envoyez un message privé dans le jeu (Oni-neko), j'ai pas vraiment d'horaires fixes, mais vous me trouverez rarement de bon matin ^^' Ou alors vraiment de trèèès bon matin (4-5 heures^^') Ou vous pouvez aussi m'envoyer un mail à l'adresse suivante (évitez le mail-flood, ça nous fera perdre notre temps, à vous et à moi !) : legrandtimangakacmoi@yahoo.fr (Vérifiez le copié-collé)

Vous pouvez aussi bien me contacter pour vous faire recruter que simplement pour avoir plus d'infos sur la guilde^^